Tout en avançant, je surveillais les encoignures, des fois que Dolorès ou Salvador, bravant le froid, y montent une faction malveillante, prêts à nous sauter sur le paletot. Un coup de Jarnac était toujours possible, de la part de ces mirontons. Toutefois, mes craintes n’étaient pas fondées et nous parvînmes sans anicroche dans la courette de l’habitation de Bélita.