1885, author incertain, Journal de l’Anatomie et de la Physiologie Normales et Pathologiques de l’Homme et des Animaux[1], page 90:
L’entoderme (methorium viscerale) est formé par une petit portion de l’entoblaste (épithélium du mésodæum et ses dépendances glandulaires) et par les deux segments de l’exoblaste (épithélium du stomodæum et du proctodæum).
1904, Louis Félix Henneguy, Les Insectes[2], page 19:
A la partie antérieure du stomodæum, une paire de culs‐de‐sac constitue deux glandes salivaires, tandis qu’à la partie antérieure du proctodæum deux paires de tubes constituent les organes excréteurs ou tubes de Malpighi.
1905, Louis P. Pelseneer, Compte‐Rendu des Séances du Sixième Congrès International de Zoologie[3], page 345:
Habituellement, ils ne possedent que le stomodæum, le velum et l’ébauche de la coquille et des deux reins larvaires, tous organes qu’ils présentaient déjà avant de s’attacher au vitellus nutritif collectif.