1870, Peter Murray Braidwood, Edward Alling, De la Pyohémie[1], page 273:
Si l’on essaie de rapporter l’état général à la phlébite, aux thromboses, à la toxæmie, ou à des sources semblables, on ne fait qu’envelopper le sujet de contradictions.
On l’appelle quelquefois : « Fièvre jaune paludéenne », d’après la ressemblance de ses symptômes avec la toxæmie contagieuse, ainsi nommée avec raison.