1840, Jules Pelletan, Mémoires de l’Académie Royale de Médecine[1], page 220:
A l’auscultation, on entend en avant un léger ronchus plus marqué à droite qu’à gauche ; en arrière , matité à droite depuis la fosse sus‐épineuse jusqu’à la base , râle crépitant souffle et retentissement ægophonique dans quelques points ; ces symptômes existent jusqu’à la base ; à gauche , sons normal , respiration puérile.
Les premiers auteurs qui ont étudié ce phénomène, Taupin, Piorry, Hourmann (Revue médicale française et étrangère, juillet 1839), qui lui a donné le nom d’autophonie, Hornemann, ont eu le tort, d’après l’auteur, de donner à ce signe une signification symptomatique trop étendue, et de créer des variétés purement artificielles, en admettant l’autophonie normale, ægophonique, bronchophonique, etc.