Courroucées, les autorités du pays se mettent alors à serrer l’étau autour des mafieux japonais. En 1992, la loi antiyakuzas entre en vigueur ; puis, entre 2009 et 2011, les quarante-sept départements du pays introduisent un arrêté « pour l’exclusion des groupes criminels » (bohai jorei) interdisant tout rapport financier entre les citoyens et les bandes du crime organisé.