1638, author incertain, Premiere Centvrie des Qvestions Traitees ez Conferences[1], page 360:
Oint qu’on ne peut rien ſçavoir ſolidement ſans ſçavoir vn peu de tout , qui eſt cette encyclopædie : ne plus ni moins qu’on ne peut ſçavoir vne charte particuliere ſans avoir connoiſſance de la generale , & meſmes les païs voiſins.
1647, author incertain, La Science vniverselle de Sorel[2], page 302:
Ainſi , la Logique leur rend le reciproque par vne correſpondance mutuelle, comme l’on pourra encore mieux remarquer dans l’obſeruation generale de noſtre Encyclopædie.
1655, Charles Sorel, De la Perfection de l’Homme[3], page 283:
Nous ne doutons point qu’il n’y en ayt eu aſſez qui ont ſçeu qu’il faloit tenir vn compte exact de toutes les Diſciplines , afin que les Hommes viſſe nt en peu de temps quelles pouuoient eſtre les richeſſes de leur Eſpirit, & qui pour y donner plus de facilité , ont taſché de reduire tant les Sciences que les Arts dans leurs dependances & leurs limites, mais ils n’ont pas tous reuſſi à trouuer leurs correſpondances & leurs iuſteſſes : Voyons quels ſont ceux qui ayans donné vne eſtenduẽ generalle à leur ouurage , ont trouué la vraye forme d’vne Encyclopædie.