1621, André Du Laurens, Le Premier Livre[1], page 540:
Quelques fois en la gonorrhœe venerienne, la ſemence ſe meſle auec l’vrine, & il ſort du pus ou bouë quand on commence à vriner : mais meſme quand on n’vrine point, il ne laiſſe pas de couler perpetuellement, & malgré qu’on en ait, quelque choſe de purulent & boueux.
1640, José Covillard, Le Chirvrgien Operatevr[2], page 478:
Les Caualiers qui courent dans les delicieuſes barrieres des aggreables combats de cette charmante Venus , tombent ſouuent dans les triſtes aduentures de telles faſcheuſes carnoſitez , lors que l’humeur maligne de la gonorrhœe virulẽte eſchauffe premierement, & apres ronge, & vlcere le conduit de la verge, & en ſuite arriue la carnoſité , qui bouche le paſſage de l’vrine & de la ſemence , ou le rend fourchu & difficile , auec des importunes douleurs piquantes & mordicantes.