1862, Joachim Sighart, Albert le Grand[1], page 553:
Son disciple Thomas de Cantimpré , sous l’impulsion d’un motif on ne peut plus chrétien , traita , dans son ouvrage de Naturis rerum , de l’art gynæcologique , parce que , à défaut de cette science , il arrive qu’un grand nombre d’enfants périssent avant de naître , ou au moins avant d’avoir reçu le baptême.