Aujourd’hui, plus besoin de condescendance : la « SF » semble avoir disparu, elle s’est comme dissoute dans les « littératures de l’imaginaire ». Bien belle dénomination, qui regroupe le fantastique, la fantasy et la SF, en leur conférant une appartenance pleine de noblesse — terminé, le mépris suscité par des genres mineurs, aboli, le renvoi plus ou moins implicite au rayon « jeunesse ».