1633, Jacques Le Vasseur & Menestrier, Annales de l’Eglise Cathedrale de Noyon[2], page 380:
Lequel Dom Martin nous a laiſſé vn riche bouquet entierement tiſſu des fleurs, & des meſmes mots de la Bible, à ſçauoir l’Epiſtre en forme de Paræneſe qu’il adreſſa à vn Nouice Chartreux , qui minutoit ſa retraicte d’où il eſtoit venu.
1689, Laurent Bouchel & Moette, La Bibliotheque Canonique[3], page 493:
C’eſt neanmoins avec proteſtation que je fais derechef , que je ſoûmets à l’Egliſe , & que j’euſſe laiſſe cette juſte & neceſſaire défenſe à quelqu’un que Dieu eût ſuſcité plus propre que moy , ſi cette queſtion ne ſe fût trouvée la plus utile , pour l’augmentation du petit volume de ma Paræneſe ſur l’indifference : & n’euſſe écrit de cette façon , s’il n’euſt eſté neceſſaire pour émouvoir les conſciences de Meſſieurs les Juges , & ſpecialement des Curez ſi mal conſeillez , & qui ne ſçavent pas que quand ils auroient obtenu cent Arreſts , ils ne s’en doivent plus ſervir , puis que la Cour a reconnu l’abus.
1770, author incertain, Histoire Littéraire de La Congrégation de Saint‐Maur, Ordre de S. Benoît[4], page 9:
Vers la fin de cette Paræneſe , adreſſant la parole aux Bénédictins & Bénédictines , il leur dit : „ Vous étiez ſuels & ſeules avant l’invention de l’imprimerie , qui écriviez le texte canonique de la ſainte Ecriture , les hiſtoires ſacrées & eccléſiaſtiques , les livres des Saints , les comments, des Peres , les gloſes ordinaires.