Citations:théosophe

French citations of théosophe and théosophes

1769 1771 1853 1908 1921 1974
1st c. 2nd c. 3rd c. 4th c. 5th c. 6th c. 7th c. 8th c. 9th c. 10th c. 11th c. 12th c. 13th c. 14th c. 15th c. 16th c. 17th c. 18th c. 19th c. 20th c. 21st c.

Noun: "theologian" edit

  • 1771, “theosophe”, in Dictionnaire de Trévoux, 6th new edition, volume 8 (overall work in French and Latin), Paris: Par la Compagnie des libraires associés, →OCLC, page 14:
    [] qui fait la théologie, qui a une grande connaissance des choses divines. [] On trouve ce mot dans quelques écrivains ecclésiastiques.
    [A person] who does theology, [a person] who has a great knowledge of divine things. [] One finds this word in some ecclesiastical writers.

Noun: "theosophist" edit

  • 1769, Denis Diderot, Histoire générale des dogmes et opinions philosophiques, volume 3, London: s.n., →OCLC, page 303:
    Il faut mettre au nombre des syncrétistes tous ces philosophes qui ont essayé de rapporter leurs systêmes cosmologistes à la physiologie de Moyse; ceux qui ont cherché dans l’écriture des autorités sur lesquelles ils pussent appuyer leurs opinions, [et] que nous appelions théosophes.
    We must include among the syncretists all these philosophers who have tried to relate their systems of cosmology to the physiology of Moses; those who sought within the writings of authorities [for that] upon which they might support their opinions, and who we call theosophists.
  • 1853, Jean Marie Ragon, Orthodoxie maçonnique : suivie de la maçonnerie occulte et de l'initiation hermétique, Paris: Dentu, →OCLC, page 585:
    Déjà Schrœder, dit le Cagliostro de l’Allemagne, avait en 1779, ouvert dans une loge de Sarrebourg son école de magie, de théosophie et d’alchimie, en quatre grades, auxquels il donna le nom de rose croix rectifié.
    Already Schroeder, known as Cagliostro of Germany, had in 1779, opened in a lodge at Sarrebourg his school of magic, of theosophy and of alchemy, in four degrees, to which he gave the name rectified rose cross.
  • 1921, René Guénon, Le théosophisme : histoire d'une pseudo-religion, Paris: Nouvelle librairie nationale, →OCLC, page 8:
    [] aussi ses membres ne sont-ils nullement des théosophes, mais ils sont, si l’on veut, des « théosophistes ». Du reste, la distinction entre ces deux termes « theosophers » et « theosophists » est presque toujours faite en anglais, où le mot « theosophism », pour désigner la doctrine de cette Société, est aussi d’un usage courant ; elle nous paraît assez importante pour qu’il soit nécessaire de la maintenir également en français, malgré ce qu’elle peut y avoir d’inusité, []
    [] its members are not theosophers, but they are, if you will, "theosophists". Moreover, the distinction between the two terms "theosophers" and "theosophists" is almost always made in English, where the word "theosophism" refers to the doctrine of this Society, is also in common usage; it seems important enough to us to also keep [the distinction] in French although it may be of unusual, []

Noun: "A category of masonic degree" (Freemasonry) edit

  • 1908, Gustave Bord, La franc-maçonnerie en France des origines à 1815, volume 1, Paris: Nouvelle librairie nationale, →OCLC, page 262:
    En 1767, un maçon français, [] Bénédict Chatanier[sic], essaya vainement de fonder à Paris une société secrète, dans le but de propager le système de la Nouvelle Jérusalem de Swedenborg, sous le nom d’ILLUMINES THÉOSOPHES; il se disait théosophe chrétien.
    In 1767, a French freemason, [...] Benedict Cha[s]tanier, tried in vain to found at Paris a secret society, in order to propagate the [Emanuel] Swedenborg system of the New Jerusalem, under the name Illumines Théosophes; he said he was a Christian theosophist.
  • 1974, Jacques Brengues, “La franc-maçonnerie dinannaise de 1760 à 1789”, in Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, volume 81, number 1, →DOI, →ISSN, page 140:
    Cette secte comportait six grades : ceux d’apprenti theosophe, de compagnon theosophe, de maître theosophe, [] suivis de trois grades supérieurs : Ecossais sublime ou theosophe illuminé de la Jérusalem céleste, frère bleu et frère rouge.
    This sect had six degrees: those of apprentice theosophe, companion theosophe, master theosophe, [] followed by three upper degrees: sublime Scottish or illuminated theosophe of the celestial Jerusalem, blue brother, and red brother.