1881, L’Anti-Clérical, Grande Fureur de M. Le Curé, page 93:
De par la volonté de très puissant autocrate M. Contance, curé-doyen, les travailleurs des champs devront tous acheter des montres, car ils n’entendront plus, à midi, la cloche sonner la soupe !
2004, Jean-Michel Bergougniou, L'affaire des Empoisonneurs[1]:
Le clairon vient de sonner la soupe et les hommes gagnent tranquillement qui la pension des adjudants et des maréchaux des logis chefs, qui la popote des maréchaux des logis et fourriers, qui enfin l’ordinaire de la troupe. Les menus sont évidemment différenciés selon les grades. Les adjudants après une soupe aux pommes de terre, auront du veau en ragoût, des haricots au jus, du poulet rôti. L’ordinaire de la troupe est composé de soupe grasse, de bœuf aux carottes, de macédoine de légumes, de poisson au gratin, de veau rôti.